Publié le 25 novembre 2013
Partenariat avec les associations Autour des Williams et Trisomie21 (Eure)
Gabrielle et Martin sont des jeunes gens « différents ». Handicapés mentaux, ils ont réussi à trouver un équilibre au centre de loisirs dans la chorale «Les Muses de Montréal». Tandis qu’ils se préparent à un spectacle important mettant en vedette Robert Charlebois, ils voudraient vivre pleinement leur romance. Malgré la compréhension des intervenants, la mère de Martin s’inquiète et refuse quant à elle que son fils et Gabrielle consomment leur amour…
« Quel beau film, sobre, vivant, drôle et juste. Leçon d’humilité, de respect, de liberté, de vie, tout simplement.» (Utopia Bordeaux)
Publié le 25 novembre 2013
Dans la banlieue de Boston, deux fillettes de 6 ans, Anna et Joy, ont disparu. Le détective Loki privilégie la thèse du kidnapping suite au témoignage de Keller, le père d’Anna. Le suspect numéro 1 est rapidement arrêté mais est relâché quelques jours plus tard faute de preuve. Aveuglé par sa douleur, le père dévasté se lance alors dans une course contre la montre pour retrouver les enfants disparus.
Interdit aux moins de 12 ans
« Villeneuve signe là l’un des thrillers les plus saisissants de ces dernières années, en plus d’offrir des rôles en or massif à ses acteurs.» (Mad Movies)
Publié le 25 novembre 2013
Omar vit en Cisjordanie. Habitué à déjouer les balles des soldats, il franchit quotidiennement le mur qui le sépare de Nadia, la fille de ses rêves et de ses deux amis d’enfance, Tarek et Amjad. Les trois garçons ont décidé de créer leur propre cellule de résistance et sont prêts à passer à l’action. Leur première opération tourne mal.
Capturé par l’armée israélienne, Omar est conduit en prison. Relâché contre la promesse d’une trahison, Omar parviendra-t-il malgré tout à rester fidèle à ses amis, à la femme qu’il aime, à sa cause?
Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs
« Un film palestinien engagé mais pas manichéen, qui sait jouer des complexités et ambiguïtés des hommes et de la politique.. » (Les Inrocks)
Film d’une force émotionnelle sans pareille (…). On a rarement aussi bien vu en action la solidarité ici en jeu (…). Pour une fois, les Palestiniens ne se limitent pas à une façade militante aseptisée. Ils sont faits de chair et de sang, de désirs et de contradictions. Grâce en soit rendue au cinéaste. (L’Humanité)
Publié le 25 novembre 2013
Inside Llewyn Davis raconte une semaine de la vie d’un jeune chanteur de folk dans l’univers musical de Greenwich Village en 1961. Alors qu’un hiver rigoureux sévit sur New York, le jeune homme, sa guitare à la main, lutte pour gagner sa vie comme musicien et affronte des obstacles qui semblent insurmontables, à commencer par ceux qu’il se crée lui-même. Des cafés du Village à un club désert de Chicago, ses mésaventures le conduisent jusqu’à une audition pour le géant de la musique Bud Grossman…
« Avec ses dialogues irrésistibles et ses personnages improbables, il y a du Woody Allen dans cette comédie douce-amère, drôle et généreuse, grave et émouvante.» (Le Journal du Dimanche)
Publié le 25 novembre 2013
Didier et Élise vivent une histoire d’amour passionnée et rythmée par la musique. Lui, joue du banjo dans un groupe de Bluegrass Country et vénère l’Amérique. Elle, tient un salon de tatouage et chante dans le groupe de Didier. De leur union fusionnelle naît une fille, Maybelle…
« On tient là un miracle en marche qui enchante, broie, émerveille, terrasse. Et laisse le spectateur occupé à recoudre son cœur. » (Métro)
« Film bouleversant (…), « Alabama Monroe », à la photographie remarquable, possède une lumière et un ton singuliers, à la croisée entre l’Amérique et le pays flamand, la romance et le drame, la légèreté et la noirceur. » (La Croix)
Publié le 14 octobre 2013
Après deux ans passés dans un camp, un ex combattant de l’armée rebelle vaincue retourne dans son village. Il y retrouve la femme qu’il a aimée, et entreprend de revenir à une existence normale. Mais les haines et les fantômes du passé le rattrapent…Une rencontre inattendue va-t-elle tout changer de son destin ?
Coupable, aux yeux des villageois, d’avoir survécu, il est très vite rattrapé par les haines et les fantômes du passé. Une rencontre inattendue va peut-être changer le cours de son destin.
« Un film pour le moins insolite (…) mélange de tragédie et de fantaisie, de mélancolie et d’humour, et à la très grande beauté plastique (…). » (Le Monde)
« C’est une histoire forte de rescapé poursuivi par la culpabilité, un mélodrame soigné et sensuel, que nous livre ce réalisateur sri lankais, aussi reconnu que controversé dans son pays. » (Télérama)
Publié le 14 octobre 2013
Londres 1964 : Jimmy et sa bande de Mods s’ennuient à mourir dans l’Angleterre de la classe moyenne. En route pour Brighton ! D’après l’opéra-rock des Who en 1973, ce film culte nous offre des scènes devenues mythiques et dresse le portrait d’une société en pleine métamorphose, où la fureur de vivre ne supporte plus de limites.
Après deux ans passés dans un camp, un ex combattant de l’armée rebelle vaincue retourne dans son village. Il y retrouve la femme qu’il a aimée, et entreprend de revenir à une existence normale. Mais les haines et les fantômes du passé le rattrapent… Une rencontre inattendue va-t-elle tout changer de son destin ?
Dans ses meilleurs moments, le film avance sur le fil du rasoir entre le lyrisme des Who et le réalisme de Ken Loach.(Télérama)
Coupable, aux yeux des villageois, d’avoir survécu, il est rès vite rattrapé par les haines et les fantômes du passé. Une rencontre inattendue va peut-être changer le cours de son destin.
Rarement on aura saisi la composition organique de l’extrême jeunesse, à la frontière de l’adolescence, avec autant de justesse. « Quadrophenia » est pleins d’idées aussi justes, de visages aussi marquants que ceux de Daniels ou Winstone. (Le Monde)
Publié le 24 juillet 2013
Au service d’une famille bourgeoise depuis quatre générations, la domestique Ah Tao vit seule avec Roger, le dernier héritier. Elle, toujours aux petits soins, continue de le materner… Le jour où elle tombe malade, les rôles s’inversent…
« Une oeuvre vraiment admirable, d’une mélancolie sans pathos et d’une justesse impressionnante. » – Le Monde
Publié le 09 juillet 2013
Rome dans la splendeur de l’été. Jep Gambardella – un bel homme au charme irrésistible est de toutes les soirées et de toutes les fêtes, son esprit fait merveille et sa compagnie recherchée. Revenu de tout, Jep rêve parfois de se remettre à écrire, traversé par les souvenirs d’un amour de jeunesse auquel il se raccroche.
« Satire de la décadence et confession intime, ce film ensorcèle par son élégance, émeut par son sentiment. » – Positif
Publié le 04 juillet 2013
Devenue un symbole de la lutte contre toutes les formes d’oppression, Angela Davis incarne la contestation américaine dans les années 70. Quarante ans plus tard, à l’occasion de l’anniversaire de l’acquittement d’Angela Davis, Shola Lynch, avec Free Angela, revient sur cette période cruciale de la deuxième partie du XXe siècle.
« Elle devient une marque (on se contente de son prénom), et un logo (coupe afro, dents du bonheur) [...]. Le film ne cesse jamais de projeter sur Angela Davis une mystification très osée, l’utilisant plus ou moins comme un personnage de fiction : ne pas rater la musique de blaxploitation rythmant le passage sur sa cavale. » – Critikat.com